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  • : André CASTELLI - Site Officiel - Elu Conseil Municipal Avignon
  • : André CASTELLI, Elu Conseil Municipal Avignon, un élu proche des Citoyens. Actuellement Conseiller Général, Vice-Président du Département de Vaucluse et Conseiller Municipal d'Avignon. Un Avenir Meilleur pour Avignon !
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André CASTELLI

André CASTELLI, Candidat aux élections municipales d'Avignon 2014 !! Un Avenir Meilleur pour Avignon ! Actuellement je suis Conseiller Général . Vice-Président du Département du VAUCLUSE.  Conseiller Municipal d'AVIGNON.

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Les chiffres du jour

1 491 c’est le nombre d’années de SMIC qui équivaut, en 2011, aux revenus de Maurice Levy, patron de Publicis...                                      4 055 c’est le nombre de cantons qui divisent le territoire, dont 172 dans les cinq départements d’outre-mer                                                 

18,99

millions de personnes étaient sans emploi fin janvier dans les 17 pays de l’Union monétaire, soit un taux de chômage de

11,9 %

7 500 suppressions de postes chez Renault d’ici la fin 2016, au nom de la compétitivité 


Il est temps de ....

  
8 juillet 2009 3 08 /07 /juillet /2009 18:54










Dans un climat d’affairisme financier malsain et secret  le patrimoine Municipal d’AVIGNON est vendu à « la découpe » .

Lorsque nous avons vu qu’un Conseil Municipal était programmé le 30 juillet 2009 ,nous avions flairé le « coup tordu »  . Nous pensions que la « marquise des Angles » autrement dit notre Maire  allait  dans le secret de son cabinet  ,nous mettre la prison Ste Anne dans le « panier » .Et ben Non !!! nous avions oublié ,

L’ancien conservatoire Pl. du Palais .

Voilà c’est fait dixit la presse ,Mme « Bling-Bling » , aurait signé un compromis de vente avec des spéculateurs financiers  internationaux sur les hôtels de luxe.

 

Sur la forme sachez que jamais aucune instance Municipale n’a débattu de cette question,

destination, projets , suivant son bon plaisir dans le secret et l’obscurité la plus totale ,jury « bidon » qui pratique l’entre soi ,Mme « hôtel de luxe » aurait engagé sa responsabilité .

 

Mais tout de même cette signature nous interpelle à plusieurs niveaux :

-Avignon n’a pas besoin d’hôtels luxe, statistiques du taux de remplissage à l’année 42 %, avant la crise , alors pourquoi un ou des  hôtels  de luxe ?

-Aux dires des financiers une structure dans ce lieu n’est pas rentable ? mais alors pourquoi investir ? la finance internationale est-elle devenue « philanthrope » ?

Une partie de la réponse se trouve sans doute dans la connaissance du secteur «  hôtels de luxe » .Bien que ce ne soit pas une généralité absolue . Nos concitoyens doivent savoir que ce secteur est utilisé pour l’investissement de capitaux « pas clairs » c’est ce qu’on appelle un secteur dans lequel il y a des « machines à laver l’argent trouble » .

Notre groupe Municipal à fait une contre proposition qui certes nécessite un gros travail politique de coopération ( voir Blog : avecmaxrieux.fr ) ,mais qui profite des trois millions de personnes qui transitent par an  sur  cette place comme lieu « d’affichage » des talents Régionaux du grand SUD et dans notre projet ,les Avignonnais et les gens du commun   pourrons boire ,manger ,se cultiver ,se renseigner, découvrir  etc….

 

-Un argumentaire de Mme ROIG contradictoire .Les habitants d’AVIGNON sont « pauvres », (ben oui  presque tous les gens ayant des moyens , dont vous ,vivez dans les communes limitrophes) ,mais ils pourront aller « Peter » dans la soie ,on voit quels sont les Avignonnais qui pourront éventuellement se payer l’entrée ,la caste des « riches ». Les « gueux » comme il y a 700 ans seront  refoulés ou auront le droit d’applaudir et de « bader » devant l’ostentatoire richesse confisquée.

Il y a comme un trou noir historique dans ces manières « aristocratiques »,1789 ,la nuit du 4 Août ,la prise de la Bastille.

Mais le débat commence .

A ce qu’il parait Mme ROIG a des  conseillers « godillots » qui votent sans discuter ,nous allons leur donner l’occasion de prouver que ce ne sont là que des propos « tendancieux ».

Le groupe RGEA-CASTELLI
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1 juillet 2009 3 01 /07 /juillet /2009 20:15

Et non Monsieur Mansour, votre affaire  n’est pas seulement une affaire privée !



L’adjoint aux finances de la ville est pris la main dans le sac des pratiques illégales dans le domaine des transactions  commerciales. Il avoue sa faute  et il la justifie: dont acte.

Mais pour autant, le silence assourdissant de  Mme le Maire, Marie José ROIG  dont dépend cet élu devient indécent. On ne peut  considérer comme anodin le fait qu’un élu avoue publiquement être l’auteur d’une fraude fiscale, d’autant plus que cela pourrait être de nature à accréditer l’idée que cette pratique vaut pour les autres élus de la majorité par ailleurs responsables ou anciens responsables économiques ou commerciaux. Ils sont assez nombreux dans le Conseil Municipal.

 C’est donc pour notre groupe Rassemblement de  la Gauche des  Ecologistes et Altermondialistes, un devoir de dire et rappeler quelques vérités qui veulent rompre la logique que ce silence pourrait conclure : « Tous pareils, Tous pourris».

Notre groupe ne peut rester dans cette tentative d’accoutumance : nous refusons de nous voir embarquer dans l’amalgame. Notre positionnement a toujours été celui du respect des lois de la république applicables à tous. Celles qui garantissent l’égalité, la liberté et la fraternité. La majorité municipale nous entraîne parfois dans des débats où elle prétend nous faire la morale. Nous renvoyons la balle aujourd’hui : où est la morale ?

La fraude publique est immorale, elle lèse les bases de la fiscalité collective, et contrairement à ce que prétend l’adjoint aux finances, on ne peut laisser l’ombre d’un doute sur la possibilité de frauder. Et encore plus, le rôle fondamental d’un élu c’est justement de faire respecter la loi. C’est l’engagement que nous prenons en décidant de prendre une fonction publique. Et lorsque cet élu est en charge des finances de la ville, il sait que contrevenir aux règles  fiscales élémentaires, c’est trompé sa collectivité et porter atteinte aux moyens politiques qu’il fait adopter en présentant le budget dont il est responsable.

Cette affaire a donc pour nous cette double connotation d’être tout à la fois un dossier privé, sur lequel  la justice devra trancher, et un dossier public et politique puisqu’il met un doute sur la sincérité du travail en commission des finances de la Ville  ou sur celui des marchés public, présidées par un élu qui s’avoue fraudeur public. Sa propre dignité devrait le pousser à partir de lui-même.

Nous alertons l’ensemble du Conseil Municipal sur cette nécessité du respect de l’éthique républicaine. Avignon ne doit pas devenir une république « bananière ».

 Nous ne pouvons tolérer que cet événement  reste dans la complaisance de la majorité de droite, qui nous abreuve régulièrement de leçons, notamment dans le domaine des finances.

 Notre démarche, notre engagement, notre travail sont portés par une conviction que c’est dans ces moments où apparaît le fait que la gauche antilibérale que nous représentons  et la droite ce n’est pas pareil. 

Pour nous, faire de la politique ce n’est pas se servir des gens pour ses intérêts personnels, c’est servir les gens pour la cause collective et publique.  

Groupe d’opposition Municipale

 Rassemblement de la Gauche ,des Ecologistes et Altermondialistes-(RGEA-Castelli)

A.Castelli /M.Clavel/Z.Haddaoui /M.Rieux

Contacts :40 90 80 88 18/19 – 06 84 65 10 00 - Blogs :http://www.avecmaxrieux.fr ;   http://www.andrecastelli.fr/

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28 juin 2009 7 28 /06 /juin /2009 22:05

                                                                                                    Les 18 et 19 Juillet, le CIDEFE organise ses journées d'études sur la Culture . Ce rendez-vous des élus nationaux est devenu un fait important dans la vie locale.
Avignon-Plaquette-Festival-2009.pdf Avignon-Plaquette-Festival-2009.pdf
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25 février 2009 3 25 /02 /février /2009 16:35

revuedepresse.jpg

marseillaidse25fevrier.pdf provence25fevrier.pdf vm25fevrier.pdf

Tout d’abord merci pour votre participation à cette conférence de presse organisée par l’ADECR sur la suppression de la taxe professionnelle .Vous le savez, le Président de la république a confirmé lors de son allocution télévisé le 5 février dernier qu’il entendait supprimer en 2010 la taxe professionnelle. Cette annonce, faite sans aucune concertation avec les élus, suscite de nombreuses réactions d’inquiétude et mécontentement de toutes les associations d’élus. Pour notre part, nous sommes totalement opposés à la suppression de la TP, ce qui ne veut pas dire pour autant que nous sommes pour le statu-quo, nous faisons des propositions pour moderniser cette taxe, j’y reviendrai à la fin de mon intervention. 

Suite...5 raisons principales motivent notre refus de voir disparaitre la TP 

En premier lieu, la suppression de la Taxe Professionnelle privera les collectivités locales de ressources estimées à 28 milliards. On imagine les conséquences économiques si l’année prochaine les collectivités territoriales sont privées de cette masse financière : il y aura moins d’investissement donc moins d’emploi. Je rappelle que 75 % des investissements publics sont réalisés par les collectivités. Les moyens de fonctionnement des villes seront également à la baisse avec inévitablement un recul du service public auprès des populations et des suppressions d’emplois de fonctionnaires territoriaux. 

 

En second lieu, on nous dit qu’il n’y aura pas de perte sèche pour les collectivités. Pour compenser, on nous annonce une « Taxe carbone » sans savoir encore qui va
la payer. Si les entreprises doivent la payer, il faudra
vieller à ce que celles qui consomment beaucoup d’énergie du fait de leur activité, je pense au secteur industriel, ne soient pénalisées PAS par rapport à d’autres dont l’activité est moins consommatrice d’énergie mais dont les profits sont plus importants (les banques par ex). 
On nous dit aussi que l’état compensera le manque à gagner. 

Tout d’abord, nous savons que l’Etat ne compense jamais en totalité les dispositifs d’exonérations ou les transferts de compétences. Les départements, les régions le savent bien. Ensuite, alors qu’il baisse actuellement ses dotations aux collectivités, on ne voit pas comment l’état pourrait demain financer la perte de la TP sans recourir à un nouvel impôt. Sachant que l’objectif gouvernemental est de diminuer la fiscalité des entreprises, il est évident que ce sont les contribuables qui paieront d’une façon ou d’une autre. Cette hypothèse est inacceptable. De plus, si l’état décide de compenser la TP, cela fera de celui-ci un des principaux, si ce n’est le principal, « contribuable » des collectivités. On peut dès lors s’interroger sur l’indépendance des collectivités dont l’autonomie financière sera réduite. L’état aura de fait un moyen de pression politique sur les élus. 

 

 

Troisièmement,
la TP établit un lien direct entre l’entreprise et
la collectivité. Les collectivités financent des investissements, des infrastructures diverses et des services dont bénéficient les entreprises et leurs salariés. Ces dernières ne peuvent exiger d’avoir par exemple des routes et des services nécessaires à leur activité sans participer indirectement à leur financement. Ce lien doit donc
être maintenu par le biais de
la TP. 
Quatrièmement, on nous dit dixit le Président de la république, « que la suppression de
la TP évitera les délocalisations, sauvera ou créera des emplois. » 
Cet argument que l’on nous sert chaque fois que l’on veut faire payer moins les entreprises n’est pas sérieux. En effet, c’est la faiblesse des salaires, l’absence de contrainte en matière de droit du travail et la recherche du profit maximum qui facilitent les délocalisations. Ce n’est pas la suppression de
la TP qui changera au fond cela. D’ailleurs, je constate que de
réformes en réformes, le montant de
la TP n’a cessé de baisser ces dernières années, tout comme d’ailleurs les cotisations sociales, sans que cela n’est des effets réellement positifs sur l’emploi. 

 

J’insiste la dessus car il est faux de croire que
la TP serait le premier critère de choix pour les entreprises qui décident de s’installer sur tel ou tel territoire. Ce qui est privilégié par une entreprise, c’est la situation géographique du territoire et la présence d’infrastructures de transports, c’est la présence de personnels qualifiés, c’est l’existence de logements et de différents services pour le personnel….La vérité, c’est que la suppression de
la TP s’inscrit dans le discours récurrent des libéraux sur le fameux coût des charges supportées par les entreprises : un jour ce sont les charges sociales, un autre c’est
la TP, le lendemain c’est l’impôt sur les sociétés… Pour le Medef qui se réjouit de la suppression de
la TP, tous les prétextes sont bons pour diminuer les charges payés par les entreprises. 
Si le pouvoir avait réellement l’intention de lutter contre les délocalisations, il agirait pour instaurer des règles sociales communes notamment au sein de l’UE. Des règles sociales à maxima et non à minima comme c’est trop souvent le cas. Or, au nom du marché, de la libre concurrence et des traités européens plus libéraux les uns que les autres, traités que nous  avons combattus, rien n’est fait en ce sens. Il en est de même pour tous les accords internationaux à l’OMC et ailleurs qui sont régit dans la même optique. 

 

 

En réalité, de nombreux chefs d’entreprises le savent, seule l’activité économique permet de créer des emplois. Et un des moyens pour relancer l’activité, c’est d’augmenter les salaires, les pensions des retraités et les indemnisations des personnes privés d’emploi. Cinquièmement, Il est évident qu’il y a un lien étroit entre le projet de reforme des institutions et la suppression de
la TP. Si demain, l’UMP confirme sa volonté de supprimer ce que l’on appelle les clauses de compétences générales qui donnent la possibilité aux collectivités d’aller au delà de leurs compétences légales, on comprend dès lors que l’état veut diminuer leurs moyens financiers. Nous aurons l’occasion de vous donner dans quelques jours notre sentiment sur le rapport du Comité Balladur qui devrait être public la semaine prochaine. On peut d’ores et déjà remarquer qu’avant même que ne s’ouvre le débat sur les institutions et le financement des collectivités, le Président annonce la suppression de
la TP. 

 

Pour terminer et comme je vous l’ai dit au début de mon intervention, nous ne sommes pas pour le statuquo. En effet, cela fait longtemps que nous proposons de moderniser la TP afin de la rendre plus juste et qui permettrait de mettre fin aux déséquilibres entre les secteurs d’activité. Le secteur industriel et les transports sont redevables de 66% de la taxe professionnelle alors qu’ils ne produisent que 33% de la valeur ajoutée. C’est la raison pour laquelle les parlementaires communistes ont déposé une loi afin d’intégrer les actifs financiers dans les bases pour le calcul de
la TP. C’est d’autant plus nécessaire que la financiarisation est un frein au développement de l’emploi et des activités productives. L’introduction des actifs financiers permettrait d’alimenter un fonds national de péréquation, avec un taux fixé au plan national par le parlement. Bien entendu, les bases de cet impôt seraient composées également de la valeur ajoutée, de la valeur locative foncière et de la valeur locative des équipements et des biens immobiliers. 

En conclusion, La suppression de la TP n’est en rien un problème technique, c’est une question éminemment politique aux conséquences trés lourdes pour les collectivités.  De plus, les élus ne pourront en 2009 gérer au mieux leurs collectivités tant qu’ils auront cette chape de plomb sur la tête. Aussi, notre association va s’adresser aux maires du département pour leur proposer d’adopter des motions et de proposer de faire signer à leurs administrés une pétition. En effet,
la TP n’est pas une affaire qui concernerait exclusivement les élus, les populations sont pleinement concernées et elles doivent à ce titre agir aux côtés de leurs élus 

 

 

Avignon le 24 fevrier 2009 
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5 janvier 2009 1 05 /01 /janvier /2009 16:30

06940002.jpg2008 fut une année olympique ! Sur les pistes  du pays du milieu, de fabuleux destins ont côtoyé les dieux des stades. Mais sur les pistes de la jungle boursière de crapuleux desseins ont été manigancés pour côtoyer les tigres de
la finance. Là aussi des records du monde ont été battus : records de faillites bancaires, et records de rapidité pour renflouer ces faillites avec des fonds publics. Et sous les « Hourras » des milliardaires spéculateurs, lever du drapeau en chantant l’hymne sarkoziste permanent : «  Il n’y a pas d’argent, la vie est dure. Même pas de l’or, faut se serrer la ceinture ». 

Suite... Et pendant ce temps, des sans-abris meurent dans nos rues faute de lieux d’hébergement, des patients meurent dans les ambulances et les hôpitaux faute de moyens, et les guerres perpétuent leurs massacres des innocents. Le capitalisme plante toujours son talon de fer là où ça fait mal : 2008 nous l’a encore prouvé. 

2009, débute sous des traînées de nuages lourds de fumées noires. La crise financière n’a pas tout dévoilé, et les conséquences risquent de peser lourd sur la vie quotidienne de notre département. Les politiques sociales en charge de notre collectivité vont se heurter à ces conséquences et en même temps elles vont devoir répondre aux attentes légitimes des vauclusiennes et vauclusiens qui soufrent le plus de cette politique de droite. A écouter les vœux présidentiels, on a en effet la certitude que l’addition des frénésies de profits des grands de ce monde va nous être présentée comme si cela allait de soi. Il faudra en sus payer pour les remettre à flot et relancer le manège infernal, et il faudrait courber l’échine avec déférence ! Les finances publiques décidées dans le budget de l’état, ont été promptes à répondre à ce besoin de fric des joueurs de nos vies à la bourse, elles sont annoncées en grande baisse pour les collectivités territoriales, pour les politiques sociales, associatives, d’insertion et de développement. Notre département est largement concerné par de telles perspectives inquiétantes.  Et pourtant des voies de résistance ont été ouvertes et invitent notre peuple à l’espérance pour cette nouvelle année. Le Vaucluse et Avignon en particulier, n’échapperont pas à cette obligation de mettre en chantier une autre politique au service du bien des hommes. Avec ces milliards de vœux de Paix, de Santé et de Bonheur que nous nous adressons, nous pourrions bien réaliser quelques dizaines de projets pour une vie meilleure. Pas les pyramides des apprentis pharaons et autres rois du CAC 40, non : des logements décents, humbles mais dignes ; des droits humains fondés sur la solidarité et la fraternité ; du travail qui nourrit les salariés ; des retraites qui donnent aux aînés le droit de vivre ; des formations qualifiantes au service de l’emploi ;  une citoyenneté fondée sur la liberté et l’égalité républicaine ; une reconnaissance nouvelle de l’intervention associative. Je souhaite profondément qu’en 2009, nous puissions mettre en acte ces souhaits pour un festival populaire et solidaire, en se donnant les moyens de la mise en scène. Il suffira pour cela que le public spectateur devienne peuple acteur. C’est cette belle perspective pour cette nouvelle année que je souhaite à toutes les vauclusiennes et vauclusiens, toutes les avignonnaises et avignonnais. 

Avignon le 5 janvier 2008 

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Les promenades du Canton

ça coule de source !!

"Il n'existe que deux choses infinies, l'univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue"- Albert Einstein 


L’amour est la sagesse du fou et la folie du sage. — Samuel Johnson

La politique en citation

• Le plus âpre et difficile métier du monde, à mon gré, c'est faire digne¬ment le roi.  Michel de Montaigne ( 1530-1592)

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